Née d'un accident... Quel début tragique, alors que je n'étais qu'un embryon ! Oui, mes parents n'ont pas voulu de moi quand ils ont vu que la célèbre Asha Barton de la chaine météo était enceinte... De moi. Ma mère ne voulait qu'un seul enfant et elle l'a eut, mon grand frère Jimmy Stanford, alors que moi, ils ne me voulaient pas. Je me sentais aimée déjà dés mes premiers petit jours ! C'est super sympa ! Enfin bref, dans tout les cas, je suis née. Et même que c'était le sept juillet 1990. Apparemment mon père est tombé sous mon charme quand j'étais bébé et ma mère aussi, du coup ils m'ont gardée au lieu de me vendre à quelqu'un devant l'hôpital. Ils avaient fait une super belle chambre pour bébé dans leur appartement luxueux au cœur de Londres, chambre qui ne servis strictement à rien, car j'étais déjà une terreur toute petite ! Oui, chaque soir je pleurais, criais et hurlais pour aller dormir dans le lit de mes parents. Je ne mangeais rien la journée, je réveillais mes parents la nuit pour qu'ils me donnent à mangé. Je n'allaitais pas ma mère, je buvais au biberon, au bout d'un an, ils ont remarquer que je faisais une allergie à a un des produits du lait, autrement dit : le lactose. Et tout le monde sait que les bébés ont de lait pour grandir. Alors je ne sais pas si c'est pour ça que je suis petite aujourd'hui, mais je n'ai pu boire de lait ni de fromage durant mon enfance - est-ce pour ça que je fais 1m63 aujourd'hui seulement ? bonne question. Bref, pour mes parents, j'étais un petit diable, déjà petit. Pour mon frère j'étais sa plus grande source d'hilarité. Il avait trois ans quand je suis sortis du ventre de ma mère, contrairement à eux, lui voulait avoir une petite sœur, c'est d'ailleurs grâce à lui que je suis là, sinon j'aurais finis à la SPA ou un truc dans le genre.
Enfin bon, arriver à l'âge ou j'appris à parler, donc environ une année de ma vie, j'ennuyais encore plus mes parents ! Oui, rien qu'à cette âge là je les détestais... J'ai cassé un vase antique qui appartenait à ma famille depuis des générations un jour, ce fut le jour ou je dis mon premier mot. J'étais en train de joué avec mes nouveaux jouets que je venais d'avoir pour noël par ma tante Lucile, surement des cubes à emboité les uns dans les autres, quand je vis la chose brillante sur un petit meuble à côté du canapé. J'attrapai le pied du meuble et le poussa doucement, mais assez pour qu'il perde l'équilibre. Il tomba, et le vase se brisa en mille morceau juste en dessous du sapin. Ma mère arriva en courant, c'est à ce moment j'ai dis : « Oup... » au lieu de « Oups ». Mais je crois ma mère avait compris. Elle était rouge comme un piment d'après ce que m'a dit mon frère qui était près de maman à ce moment là. Du coup, les mots venait tout seul après cette première ma vie ! Mon deuxième mot fut moins élégant « caca » , mais quel bébé est élégant dés sa naissance ? Je dirais aucun ! Une vrai terreur à quatre pattes en couche culotte qui lançait ses jouets sur son frère et qui trouvé sa drôle... Je pense que mes parents ont déjà du envisager l'adoption pour moi. Ils ont déjà du payer deux milles livre sterling pour payer les réparations de chez mademoiselle Homahel, ma nourrisse qui n'a pas voulu me garder plus d'un an. Peut être parce que j'ai martyrisé Poupouille, son chaton âgé de trois mois... Ou aussi parce que j'ai tellement hurlé que ses voisins du dessus on du appelé la police en croyant qu'on égorgé un cochon ou quelqu'un juste en dessous de chez eux...

Mon enfance... Ce qui aurait du être un conte fée pour certaines personnes, en fut sûrement un pour moi, mais pas pour ma famille et leur proches. J'étais dure à calmée, je n'obéissais et ma première activité favorite fut énerver ma mère en prenant ses soutient gorge pour m'en faire des oreilles de Mickey. Évidemment elle n'était pas super heureuse... Ce qui ma valu encore des crises de larmes car mon père me criait dessus. C'est comme quand c'était l'heure des siestes, je me réveillais tout le temps quand mes parents me couchée... Et je m'endormais à chaque fois que je devais aller mangé. Un amour de petite fille quoi ! Bref dans tout les cas, mes années de huit à dix ans, ce sont mal passé. Oui, j'ai vécue un très perturbant changement à l'âge de cinq ans. C'est ici qu'à commencer mon cauchemar. Un cauchemar que, bien que je sois chiante et sadique, je ne souhaite à personne. Un divorce. Une torture. Des pleures et des cries car je ne voyais plus mon père, vu que j'étais petite, ma mère ne lui a laisser la garde partagé que de mon frère. Évidemment, ma mère, riche acheta une grande villa un peu à l'ouest de Londres. Elle entama pour moi, une éducation strict et je ne connu même pas la primaire, ayant des cours à domicile. J'étais surdouée, je savais tout et je retenais simplement mes leçons. Je fus une gentille petite fille, jusqu'à ce que je réclame mon père de plus en plus, et que celui-ci demanda à ma mère de m'envoyer dans un collège réputé et privé. J'y ai été, mon père ayant menacé ma mère d'appeler ses avocats sinon. Mon frère était dans le même collège vu qu'il avait redoublé une classe, l'année du divorce. Moi j'étais perturbé, jamais je n'avais connu cela, raison pour laquelle la gentille fillette que j'étais et sortis de l'anonymat plus rapidement qu'elle ne l'aurait cru. Douces et mignonnes fillettes deviennent grandes et méchantes louves...

▬ Chapter Three

« Aujourd'hui c'est la catastrophe, je n'en peu plus. Je songe même à m'exiler loin de ce monde atroce qu'on appelle adolescence et qu'on ne supporte que difficilement. Je déteste tout autant ma mère qui, encore une fois a chercher à me joindre alors que je suis chez mon père dans son grand appartement. Lui non plus n'est pas super content... Après tout j'ai fais une connerie, je l'assume et je recommencerais même peut-être. Je fume, j'ai quinze ans, et alors ?! Si ils ne le veulent pas, ils peuvent aller se faire foutre ! C'est pas leur vie, mais la mienne. Ma mère a quand même pété un câble à cause de ça. Elle m'a bien dit : " ELIZABETH SOPHIE STANFORD QUE JE TE REVOIS ENCORE UNE FOIS AVEC CE TRUC A LA MAISON ET JE TE VIRE D'ICI ! " Je lui est répondu que je m'en fichais totalement et je lui ai crier que je me barrais toute seule et je suis aller squater chez mon paternelle.
Plus jamais je ne veux plus la voir, et à partir d'aujourd'hui, je serais tout ce qu'elle ne veut pas que je sois. »

Oui, j'ai eu une adolescence assez... Tourmenté, après que ma mère est apprit cela, j'ai commencer à boire, à me drogué et être de plus en plus provocatrice. Cette chère dame nommée "maman" que je haïssais tant a finis par m'oublier, à m'expulser de sa lamentable vie... Oh snif comme j'ai pleurer... Dans mes cauchemar ! J'étais heureuse, je ne l'avais jamais aimé, elle m'a tellement écœurer que je ne voulais qu'une chose... Ne plus jamais la revoir. Je restais donc avec mon père et lui caché le fait que je me drogue ou bien que ma virginité soit déjà oublié. Mon père me prenait pour un ange, il prenait aussi mon frère pour un ange d'ailleurs. Mais on était tout le contraire. Des diables qui aiment la luxure, les fêtes, le sexe et la bonne humeur. Pas des imbéciles studieux qui ne font que bouquiner toute la journée. Pour nous, cours était synonyme d'ennuis. On était libre de faire ce qu'on voulait Et c'était bien pratique ! Surtout que notre père se foutait un peu de tout. Et si Jimmy avait aujourd'hui son appartement, je préférée vivre chez son père pour le moment. Pour connaître la suite de mon histoire... Vivez la avec moi !

Ah ah ah... Le caractère de cette chère Lizzy est plus que dure à décrire. Irresponsable peut-être ? Oui surement. Lizzy est tout aussi irresponsable qu'un chien heureux ! Elle peut-être aussi méchante et sans émotion pour ce qui l'entour - sauf quand il s'agit de chaton et de chat... Là, c'est une autre histoire -